De plus en plus d'étudiants "pomperaient", autrement dit copieraient purement et simplement les textes de leurs mémoires et travaux universitaires.
Pour aider les universités et écoles supérieures à lutter contre ce phénomène (
et dans l'espoir, aussi, d'en tirer un substantiel bénéfice), une société française prétend avoir mis au point un logiciel spécialisé de "détection" :
http://www.categorynet.com/v2/index.php/content/view/6930/365/
:shaking2: En gros, on entre le texte, la machine parcourt internet et détecte le taux probable de "pompage".
Comme le dit très bien Frédéric Agnès, cofondateur de ladite société, dans un article de Libération qui n'est plus disponible : "Les étudiants ont toujours recopié des bouts de livre, mais on avait au moins l'assurance que ce qui était écrit avec été lu. Avec l'ordinateur, ils se contentent de copier-coller".
Il ajoute que près de 40 % du volume des documents rendus aux enseignants ne serait pas le fruit de leur travail...
... Ce qui me semble un peu exagéré
.
Comme souvent sur le net, ce n'est qu'une demi-invention : la chose existe déjà en langue anglaise. Une fois de plus, je relaie moi-même un "coup" médiatique que je relaie moi-même,
ô paradoxes d'internet.
Mais bon, ça fait réfléchir quand même...
Pour ceux qui oseraient ne pas connaître les shadoks : http://leocat.free.fr/shadok/index.php (attention site sonore !)